Certaines de mes collègues parlent mal de leurs clients: Les contraintes de temps et de budget ne leur permettraient pas de faire du vrai bon travail.
Car oui, un bon travail prend du temps et le temps d’une traductrice ayant fait des études spécialisées et se formant en permanence vaut évidemment plus que le salaire minimum légal.
Mes clients en sont conscients. Ils fabriquent eux-mêmes des produits de qualité ou en vendent, et ils savent bien sûr que le travail de qualité a un prix.
Mais ce n’est pas sur de telles évidences que je voulais écrire aujourd’hui. Je voulais écrire sur le respect. Le respect n’est jamais à sens unique. Comment puis-je espérer, en tant que prestataire de services, que mes clients me respectent si je ne les considère que comme des payeurs et non comme des partenaires avec lesquels je noue une relation d’affaires qui implique bien entendu de donner et de recevoir ? La réciprocité est un mot-clé important dans ce contexte.
Mes clients sont des êtres humains et c’est en tant qu’êtres humains que je les perçois et que je les aborde.
Et je peux dire sans mentir que le respect est mutuel !
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